
Finalement, dit-elle, il se peut que je n’ai jamais rien eu d’autre que ça, ce chemin que l’amour a creusé en moi, jusqu’à une petite chambre, pleine de champs dorés et de demeures aux cheminées fumantes, où j’ai déposé ma vie.
Entre photographie et cinéma, les projets de Caroline Bertin évoluent vers la recherche d’une poésie dans l’image, une poésie de l’étrange et du sensible.
Finalement, dit-elle, il se peut que je n’ai jamais rien eu d’autre que ça, ce chemin que l’amour a creusé en moi, jusqu’à une petite chambre, pleine de champs dorés et de demeures aux cheminées fumantes, où j’ai déposé ma vie.